Seuil
Broché, 484 pages

Quatrième de couverture
Au commencement était la sexualité. « Pour comprendre comment on a été fabriqués, mais aussi avec quoi et pourquoi, il faut primo, connaître des mots ; deuxio, savoir ce qu'ils désignent ; tertio, apprendre ce qu'ils signifient. De même, on ressent et on accepte mieux les émois physiques et les sentiments si l'on est capable de les nommer et d'en parler. Par conséquent, on a tout intérêt à connaître l'ABC ou encore le B.A.-BA. On a donc le droit de dire, aussi : au commencement se trouvent les mots. Tous les mots. Ceux qui désignent objectivement l'anatomie. Sans émotion et sans romantisme. Ceux qui évoquent les organes sexuels ou les pratiques amoureuses de façon rigolarde, parfois vulgaire, mais qui parlent à nos imaginations et sont surtout tellement plus proches de nos expériences intimes. Ceux, enfin, grâce auxquels les êtres humains s'avouent qu'ils se plaisent, se désirent, s'aiment, se haïssent, se font plaisir ou souffrir, éprouvent du mal à se dire... ce qu'ils voudraient se dire, autrement dit, les mots d'amour. »

SDM
Mots et expressions qui évoquent les organes sexuels ou les pratiques amoureuses. -- Services Documentaires Multimédia

Éditions Blanche
Broché, 524 pages

SDM
Dictionnaire très exhaustif des pratiques amoureuses, des plus communes aux plus saugrenues. Avec plus de 500 définitions, l'ouvrage commente et explique tout ce qui peut exister en matière de fantasmes, de perversions et conduites sexuelles. Cent illustrations très explicites viennent appuyer le propos. -- Services Documentaires Multimédia

Payot
Broché, 639 pages

Quatrième de couverture
Épuisé depuis plusieurs années, ce dictionnaire du grand linguiste Pierre Guiraud méritait d'être réédité, car il représente un travail sans équivalent sur les structures étymologiques du vocabulaire érotique français. Celui-ci se caractérise par une fécondité verbale tout à fait exceptionnelle qui lui confère une place unique dans le système de la langue. Le moindre concept y est représenté par des centaines de synonymes. Ainsi le "coït" est désigné par plus de 1300 synonymes, le "pénis" par 600 et 600 aussi pour le "sexe de la femme". Étant donné que les trois concepts sont intégrés dans un même système lexical, il en résulte un ensemble de près de 3000 mots et expressions pour désigner une même notion. Destiné au spécialiste aussi bien qu'au profane, ce dictionnaire, qui comporte environ 7000 entrées, permettra au lecteur de découvrir toutes les richesses de notre langage érotique et l'immense créativité qui n'a cessé de le développer, du Moyen Âge à nos jours.

SDM
L'essentiel de l'ouvrage, p. 119-640, est une liste alphabétique de plus de 4000 mots ou expressions désignant l'activité sexuelle et ses organes. Ces mots sont empruntés à la langue érotique, littéraire ou populaire, du Moyen Age à nos jours. Pour chaque expression, l'auteur précise le sens, cite le ou les textes où l'expression est utilisée, explique à l'occasion. L'introduction, d'une grande importance, est une synthèse sur "Les structures étymologiques du vocabulaire érotique", p. 7-118. L'auteur dégage et commente l'emploi des synonymes, en utilisant une division des activités sexuelles en huit catégories, avec divisions et subdivisions. Cet ouvrage est complété par une étude strictement linguistique: Sémiologie de la sexualité (1978, 247 p.). -- Services Documentaires Multimédia

Seuil
Broché, 497 pages

La chronique de Lire
Des mots pour aimer Mon couillon mignon, ma poulinette, mon cochon de lait, ma mimine, mon étalon, mon aurochs, mon têtard, ma grande asperge, ma peau d'orange, mon crépuscule, mon gros boudin, ma chipolata, ma savate, mon pot de colle, mon aspirine, ma goulue...: l'amour et l'imagination font bon ménage! Il suffit pour s'en convaincre de se blottir dans Le dico des mots-caresses de Marie Treps. Après Allons-y, Alonzo! Le petit théâtre de l'interjection, cette incorrigible exploratrice des territoires négligés de la langue de Molière met en lumière les mots bleus, «ceux qui rendent les gens heureux-eux-eux». Graves, graveleux, légers ou cucus, les mots-câlins ont l'insolence d'être libres, de n'obéir qu'à la fantaisie de leurs locuteurs. Les linguistes les qualifient d'hypocoristiques, du verbe grec hupokorizesthai, «caresser comme le fait une jeune fille, cajoler, parler de manière enfantine». Du Moyen Age aux petites annonces de Libération, l'auteur a recueilli et commenté plusieurs centaines de ces mots. Un ouvrage qu'aurait probablement savouré Chateaubriand, lui qui dans ses Mémoires d'outre-tombe exprimait ce regret: «Dans nos infirmités volages, nous ne pouvons employer que des mots déjà usés par nous dans nos anciens attachements. Il est cependant des paroles qui ne devraient servir qu'une fois.» --Alexie Lorca, ©Lire--

Quatrième de couverture
"Voici, mes agneaux jolis, un petit vocabulaire affectueux où retrouver les mille et un mots-caresses qui' enjolivent nos dialogues quotidiens. Des variétés croissant dans les jardins secrets de l'intimité à celles qui surgissent sur les plates-bandes de la convivialité... Imagination et fantaisie créatrice se manifestent spontanément, dans le choix de telle cajolerie appartenant au fonds consensuel, ou dans l'audace inventive de ceux qui ont hérité de la verve rabelaisienne. Ainsi, le répertoire des mots caresses, issu d'une longue tradition, se transmet, fluctue au gré du temps et des modes, s'enrichit des trouvailles de quelques-uns, emprunte aux parlers régionaux et nous relie à d'autres cultures. Ce qui attache les hommes entre eux, ce sont les mots, rien que les mots, vous savez bien..." M. Treps

SDM
Des mots doux, affectueux, libertins, érotiques et parfois grossiers, bref tout ce qui traduit les débordements affectueux. -- Services Documentaires Multimédia